Fleurs stylisées
Pour faire Mafate par le col des boeufs il faut partir très tôt le matin , surtout avant que les nuages arrivent sinon ce n'est pas la peine, car le paysage est tellement magnifique
Départ du parking
Cela ne se voit pas mais il fait 8 degrés , nous partons donc d'un bon pas ......
Les hélicoptères profitent d'un temps claire , pour livrer tout les ilets
Nous commençons à sentir les rayons du soleil , nous réchauffer......
Une petite pause s'impose...
Et l'on découvre déjà les toits des cases de La Nouvelle...
Nous continuons notre chemin vers Les Trois Roches
Très belle vue sur le col du Taibit
A s'est bon signes , le gîte Gravina existe bien
Surprenant cette plaine des sables....
Et nous ne sommes pas encore arrivés....la descente n'est pas facile....
Petite pause , bien méritée
Ouf nous voilà sur le site des Trois Roches
En voilà un exemple....
Surprenant....
Alain est ébahi
La fatigue te trahie
Il ne faut pas quelle bouche les cascades....
Merveilleux, ce site des Trois Roches...
On peut voir au loin le fameux col de taibit...
Nous arrivons au gite , apparament nous n'allons pas mourir de faim...
Oh le gardien na pas l'air aimable...
Le coucher du soleil , donne des reflets or....sur la montagne...
On peut apercevoir la cuisine sur la droite...
Voilà les gites , dortoir,avec biensur comme toujours le stricte minimun, un lit et puis s'est tout , rien pour poser nos vétements....
Le repas du soir , salade de choux , carry poulet , rougail saucisses riz , pois ,gateau aux pommes...
Le gite vue de loin sur le chemin du retour...
Toujours en téte Ulyss
Un temps de pause , le temps de souffler.....
Nous arrivons à La Nouvelle le plus grand des ilets
L'éclise avec le clochet juste à coté (en cas de siclone le clochet est en sécurité )
Ulyss trouve cela assez bizarre...
Trés belle vue sur les trois Salaze
Une pause pour se changer , car nous étions déjà tout mouillés..
Poulets la cour.....
Et voilà nous sommes arrivés en haut du col des boeufs , et comme chaque fois nous sommes dans le brouillard...
Cela se gate.....
Nous sommes arrivés
,,
Sur le retour avec le beau temps , voici l'église de grand ilet...
La Réunion est un volcan de type "bouclier" apparu au fond de l'océan il y a plus d'un million d'années ; Le Pton de la Fournaise est le volcan aujourd'hui actif ; nait il y a 530 000 ans.
L'île de la Réunion a 2 volcans : le Piton des Neiges qui est éteint et le Piton de la Fournaise encore en activité.
Le Piton de la Fournaise est l'un des volcans les plus actifs au monde. Il est l'un des deux volcans, avec celui de Hawaï, où la lave peut atteindre la mer et donner lieu à la rencontre de ces deux forces de la nature.
Beaux panoramas sur le Piton des neiges
Lorsque l'on monte au volcan , le matin très tot temps idéale pour prendre des photos , ST Pierre au loin
Le Volcan de la Fournaise est un volcan de type effusif. Ses éruptions sont des projections de fontaines de laves qui se transforment en rivières de laves plus ou moins visceuses qui dévalent les pentes.
Le cheminement se fait sur de petites roches volcaniques mais surtout sur les lapilli projetés par le Piton Chisny il y a 3000 ans.
Comme dans toute la région du Volcan, aucune végétation ne vient gêner la marche .
le clou de la randonnée, là où l’on peut fouler des laves colorées de jaune, ocre ou marron qui correspondent à la désintégration par le temps des roches volcaniques projetées lors de l'éruption du Chisny.
Vous entrez dans une zone d'activité volcanique
Voilà des panneaux que l'on ne voit pas souvent.....
L4enclos Foucqué
A la faveur des éruptions successives c'est formé un sommet , le Piton des Neiges , dont l'altitude a un jour approchait les 4000 m puis sous cette masse croissante et à la faveur de la vidange de la chambre magmatique , cette structure c'est effondrée sur elle même , formant trois cirques autour du Piton des Neiges. (Mafate , Cilaos , Salazie).
Dans le même temps , l'activité du Piton des Neiges s'est éteinte tandis que se constituait sur le flanc Sud-Est de l'île un nouveau volcan , le Piton de la Fournaise dont l'histoire a aussi connu ce phénomène d'effondrement , créant trois calderas autour de la Fournaise , il y a respectivement 250 000 ,65 000 , et moins de 5000 ans.
Le Piton des Neiges pointe le bout du nez , au loin....
La descente sur le Pas de Bellecombe et sur le Formica Léo
La végétation reprend ses droit....
Tous les types de lave connus se rencontrent ici : lave cordée déjà ancienne...
Benjamin descendut dans le cratère Formica Léo
Le cratère Formica Léo , nous sommes pas bien grand ...
Au loin le Dolomieu
Que de jolies couleurs....
Trop beau le jeu des ombres
Elles ne sont pas vieilles ces traces là
Cratère Commerson
Ulyss se demande ou nous sommes , je crois , pas un arbre pour lever la patte.....
Nous sommes sur le toit du monde......
On peut voir au loin le piton des neiges , mais aussi les nuages qui arrivent très très vîtes
Une vue d'ensemble du cassé de la rivière de l'Est
Les pâturages
Comme elles sont belles , il y a a une qui pause
Ce son des images que l'on oublieras jamais , ce qui ma le plus marqué sur l'île de la Réunion , s'est un accouplement de baleines que nous avons vu seul sur une plage durant 3 heures , le chant de ces baleines je ne t'oublierai jamais , il n'y a rien de comparable , ou peut être oui le volcan en éruption.......
Voici l'accès pour accéder à certaines randonnée sur le volcan ,à partir du Pas de Bellecombe pour descendre le rempart et atteindre l'enclos Foucqué situé à 2210 m d'altitude , il semble que l'on compte 630 marches .
Un autre moyen d'approcher le Voile de la Mariée
La passerelle « Ilet Bananier » franchie la Rivière du Mât et permet d’accéder à l’Ilet aux Bananiers où réside une dizaine de familles. De plus, elle est un outil touristique important puisqu’elle permet d’accéder au pied du voile de la mariée.
La rivière du Mat
Sur la route de Salazie , il faut absolument passer par "PISSE EN L'AIR"
Hell-Bourg, situé à 930 m. d’altitude, doit son nom au baron de Hell, gouverneur français de Madagascar dont dépendaient administrativement la Réunion et les Comores au milieu du 19e siècle.
C’est en effet en 1832, durant son mandat que des sources thermales furent découvertes à cet endroit par des chasseurs de cabris.
Le gouverneur n’y fut donc pour rien mais c’est son nom que reçut la localité qui se développa autour de l’établissement thermal créé en 1852.
Hell-Bourg, rendu accessible par la route, devint un lieu de repos et de résidence secondaire des familles aisées de la côte Est de l’île. Après que le gouverneur Hubert Delisle, imité ensuite par ses successeurs, y fit bâtir « une case de changement d’air », la résidence du gouverneur y fut établie. Une vie mondaine s’organisa et un casino fut ouvert dans la localité.
A l’époque, Hell-Boug était, avec Cilaos et Antsirabe à Madagascar, une des stations de cure les plus prisées de l’océan indien. On y venait de loin. Charles Baudelaire y serait passé lors de son voyage dans la région. Par la suite cependant et surtout à partir de 1920, Hell-Bourg connut une certaine désaffection. Finalement, le cyclone tropical de 1948 provoqua un éboulement sur la source et la clôture des thermes.
Les anciens thermes
Découvertes en 1842, les sources d’Hell-Bourg provoquèrent un engouement immédiat et la ruée des curistes de l’océan Indien. La source a été détruite par le cyclone de 1948. Les ruines de ces anciens thermes subsistent dans un environnement calme et verdoyant que l’on atteint après une courte et agréable promenade.
Hell-Bourg n’en demeure pas moins une localité très attrayante aujourd’hui. Cette ancienne cité thermale, au riche passé, a su en effet conserver le charme de l’architecture créole. Sous l’action de l’association “Sauvegarde et renouveau d’Hell-Bourg” le village a été classé “plus beau village de France”, label accordé aux sites d’exception, notamment eu égard à la volonté d’entretenir les demeures témoins du passé.
La plupart des anciennes maisons créoles ont disparu, mais plusieurs magnifiques exemples dont la villa Folio et la maison Morange (actuelle auberge de jeunesse) subsistent.
Un guétali est une petite construction pérenne ressemblant à un kiosque typique de l'architecture créole de La Réunion et que l'on élevait autrefois à l'angle des cours murées pour observer les gens passant dans la rue en contre-bas sans être remarqué d'eux.
Couvert par un
toit, souvent orné de lambrequins, le guétali protégeait généralement ses occupants du regard des passants par des panneaux en bois ajourés de motifs décoratifs. On sait qu'il était surtout utilisé par les jeunes filles de bonne famille
Entre le village de Salazie et d'Hellbourg se trouve le Voile de la Mariée. Une randonnée qui part du village de Hellbourg peut vous y emmener ou bien, vous pouvez la regarder d'en haut ! Cette cascade se déverse dans la rivière du Mat, au moment des fortes pluies elle est impressionnante. En fait elle porte ce nom suite à une légende qui raconte qu'un homme était venu dans les hauts pour cultiver des terres et il était mariée à la plus belle femme de la terre. Mais elle mourrit, le laissant seule avec sa fille qui était son portrait craché. Alors il refusa de la marier, mais elle tomba amoureuse du jardinier ( un ancien propriétaire de terre venu la conquérir). Alors ils se marièrent en secret mais son père découvrit le pot au feu pendant la cérémonie alors elle courut et tomba dans le précipice. Seule son voile de mariée resta accrochée à une branche d'arbre, arrosé par les larmes de son père.
Entre Salazie et Hell- Bourg, la route serpente sur les flancs de la montagne recouverte de chouchous (la spécialité de Salazie). Sur les parois impressionnantes, des cascades jaillissent de toutes parts. La plus spectaculaire, composée de nombreuses chutes est celle du Voile de la Mariée. Les voiles volent légères, aériennes, blanches et les invités sont en admiration devant cette mariée imaginaire.
Aucun sentier ne permet de visiter le Trou de fer. Seuls les adeptes confirmés du canyoning ont cette chance ainsi que les touristes s'offrant le plaisir d'un survol en hélicoptère. Deux points de vue permettent pourtant d'en avoir un aperçu, l'un au bout de cette sortie boueuse, l'autre par le circuit de la Plaine des Lianes ou celui des points de vue depuis le Mazerin. Reste le plaisir de traverser la forêt primaire de Bélouve, la plus authentique et comportant toutes les variétés de plantes de forêts humides ou l'agréable forêt de tamarins des hauts rencontrée au début du parcours. Autant le sentier est boueux durant la première moitié du parcours, autant celui du retour par le sentier de l'Ecole Normale est propre puisque construit presque en totalité sur des planches de tamarin coupées à même la forêt proche. Une halte à la Grande Mare permet d'apprécier le calme de cette zone marécageuse entourée de magnifiques tamarins.
Ne pas quitter les lieux sans une visite au gîte de Bélouve offrant de magnifiques panoramas sur le Cirque de Salazie et, au départ de la randonnée, un petit écart pour grimper sur le tronc de la Reine des Tamarins qui, hélas, a fini sur le sol mais continue à vivre.
La randonnée débute à la fin de la route de Bélouve, au parking du gîte. On se dirige tout d'abord vers le gite par la piste pour profiter du splendide panorama sur le Cirque de Cilaos à partir d'un grand belvédère aménagé. Revenir sur ses pas pour prendre le sentier du Trou de Fer qui débute près du Gîte. On suit sous les grands tamarins le sentier qui emprunte parfois des parties transformées en escalier aux planches en bois pour rejoindre plus loin une piste. On quitte la piste pour reprendre le sentier du Trou de Fer en direction du point de vue. Au point de vue (Photo 6), profiter du panorama sur une des grandes cascades du Trou de Fer et essayer de dénicher l'autre sentier dans la végétation qui mène à un deuxième point de vue. On fait alors demi-tour sur le même itinéraire jusqu'au croisement avec le sentier de l'Ecole Normale qu'on emprunte jusqu'à la Grande Mare, dont on peut faire le tour par un beau sentier. Poursuivre sur le sentier constitué essentiellement de planche en bois de tamarin pour arriver à la piste (Photo 10) qui ramène au point de départ.
Il est également possible de poursuivre sur le sentier de l'Ecole Normale jusqu'à la route et de tourner à droite pour revenir au parking du gîte afin de rajouter quelques kilomètres à cette courte randonnée.
La foret de Bébour : Le royaume des épiphytes
Une très belle fougère arborescente
Sa s'est du sport , on ne peut pas dire le contraire...
Le sentier , souvent barré par les racines , est extrêmement boueux...
le végétation les fougères , les orchidées....
On peut voir des fougères arborescentes , mais les nuages arrivent déjà...
Les nuages se déplacent , et l'on aperçoit les cascades...
Lorsque le rideau se lève.....
Magnifique.....
On ne ce lasse pas d'un si beau spectacle
Les cascades du trou de fer
Le trou de fer
Cet impressionnant gouffre de 300 mètres est considéré comme l’un des plus beaux canyons de l’île. A travers une balade inoubliable au cœur de la forêt primaire, vous aurez un aperçu de cette dépression géologique. Un survol en hélicoptère vous permettra de l’appréciez dans toute sa splendeur. Cette randonnée se caractérise par ses sentiers constitués de dalles de rondins, de fanjans et de pontons en bois qui vous éviteront ainsi de patauger dans la boue. Tout au long de cette balade, tous vos sens seront en éveil !
Le sentier des tamarins de l'école normale , beaucoup moins boueux
Et bien sur pas de rando sans Ulyss...
La reine des tamarin même couchée elle pousse encore...
Le saviez-vous ?
Les espèces indigènes sont des espèces arrivées sur l’île par des moyens naturels et présentes avant l’arrivée de l’homme. Parmi les espèces indigènes, certaines se sont progressivement différenciées pour créer des espèces nouvelles. Elles sont alors dites endémiques et n’existent nulle part ailleurs dans le monde. Les espèces exotiques sont des espèces introduites volontairement ou non par l’homme. Les forêts primaires sont des milieux naturels jamais modifiés par l’homme.
Le Tamarin des hauts est un arbre qui pousse ente 1200 et 1900 mètres d’altitude dans un milieu à température modérée et pluviométrie abondante. Son nom latin, acacia heterophylla, vient du fait que la forme des feuilles du tamarin jeune est totalement différente de celle du Tamarin adulte : d’abord bipennées, les feuilles deviennent longues et aplatis une fois adultes. Autre particularité, les graines du Tamarin des hauts ne germent que lorsqu’elles ont été exposées à une forte chaleur. Elles peuvent germées plusieurs dizaines d’années après être tombées au sol. Le bois de tamarin des hauts est utilisé en ébénisterie (bardeaux, et par le passé pour les canots traditionnels) et comme bois pour le feu.
Il faut faire très attention , dans la forêt car il y a des obstacles...
On a de la chance , au loin on voit le Piton des neiges
Superbe vue sur Hell Bourg
Le gîte de bélouve tout en bardeau de tamarin...
Voilà il faut s'attendre à ça , lorsque l'on fait cette randonnée....
Cilaos forme avec les deux autres cirques (Salazie et Mafate) le cœur de La Réunion. Le cirque de Cilaos occupe une superficie de 8 436 ha, délimité par les murs d’un ancien volcan. Le plateau de Cilaos se trouve enchâssé entre les deux plus hauts sommets de l’île, le Piton des Neiges (3 069 m) et le Grand Bénard (2 869m).
Le thème du village « Eau et Montagne » s’articule autour des principales potentialités du territoire : ses eaux thermales et ses montagnes. En effet,
l’histoire de Cilaos se rattache au thermalisme et à la vie développée dans ses montagnes.
Située au creux des gorges de la rivière du Bras Rouge, au bout d'un sentier facile à pratiquer, la cascade est visible par le dessus.
Des phénomènes érosifs ont créé de nombreuses excavations dans les roches au bord desquels le pique nique est très agréable.
A proximité de l’Office de Tourisme de Cilaos, prenez la ruelle situées entre les restaurants "Le Petit randonneur" et "Le Sentier", vous arriverez sur un parking, tout au bout duquel démarre le "Sentier des Porteurs". Après les lacets et le pont, vous atteindrez la route d’Ilet à Cordes, où à quelque dizaines de mètres sur la gauche se trouve le départ du sentier.
Possibilité de faire une boucle en revenant par le plateau des Chênes (5h).
Ce jour là , nous avons dut attendre car des travaux étaient effectués sur la route , car il faut dire que cette route et souvent endommagée par de gros éboulis , les hélicoptères sont obligés d'intervenir sinon de nombreuses accès sont bloqués des heures ou des jours entiers...
Dans le passé le moyen de déplacement pour les gens qui en avaient les moyens " La chaise à porteur"
Qu'est ce que sa devait être lourd , pour les pauvres porteurs..
La diversité des paysages et les multiples dangers du sentier sont fréquemment dépeints par les voyageurs de l’époque.
Le parcours nécessite de traverser plusieurs fois la rivière. Il dure sept heures, avec une halte au Pavillon, puis une autre à Peter Both.
Le trajet s’effectue à pieds, à cheval, à dos de mulets ou de poneys, mais le plus souvent il se fait en « chaise à porteurs ».
Parallèlement, le cirque est desservi par un réseau de sentiers permettant de rejoindre le cirque de Mafate, la Plaine des Cafres, et dès 1914, Hell Bourg à Salazie.
Il faut attendre 1932 pour qu’une route carrossable soit ouverte à la circulation. Son tracé est relativement moins long que le chemin piétonnier (35 km).
Grâce à elle, Cilaos rompt définitivement son isolement qui empêchait un plus ample développement de son économie et particulièrement du tourisme
thermal.
Rocher de Peter Both
Peter Both
Le hameau de Peter Both est le premier écart de Cilaos où se concentrent quelques maisons et quelques habitants autour de la Route Nationale 5.
Il doit son nom à la similitude du piton qui le surplombe avec l’une des principales montagnes de l’île Maurice qui fut baptisée ainsi en souvenir du premier gouverneur des Indes Néerlandaises, Peter Both ( 1610-1615 ), amiral hollandais qui fit naufrage avec la moitié de son équipage au large de l’île sœur, dans la baie du Tombeau.
Son premier habitant est Paul Payet, qui, au début du 19ème siècle, occupe et cultive l’îlet, bien que le gouvernement lui ait refusé la concession qu’il a demandé. En 1857, on ordonne à ses enfants et aux autres familles vivant sur l’îlet de déguerpir. Mais, soutenus par le maire de Saint-Louis, MM. Payet, Hoareau, Morel et Técher revendiquent, en 1859, la concession gratuite et définitive des terres qu’ils occupent et invoquent en leur faveur leur misère, leurs nombreux enfants et la prescription. Ils obtiennent gain de cause le 12 août 1862, grâce à un arrêté du gouverneur, le baron Darricau. C’est une reconnaissance du labeur qu’ils ont accompli malgré les conditions difficiles.
A la fin du 19ème siècle, le Peter Both est un passage obligé pour se rendre à Cilaos. Les voyageurs, harassés par le long trajet, à pieds, à cheval, à dos de mulets ou le plus souvent en chaise à porteurs, y font halte généralement pour déjeuner. On peut aussi y coucher à l’hôtel tenu par M. Nativel.
Avec l’ouverture de la route carrossable en 1932 et la généralisation de l’automobile, l’îlet perd progressivement sa situation d’étape obligatoire, les voyageurs poursuivant leur route directement jusqu’au village de Cilaos.
Au départ, la route longe la montagne, mais suite à un éboulis, un tunnel est construit en 1960 pour permettre la jonction avec Palmiste Rouge.
Cilaos vient du mot malgache « Tsilaosa » lieu que l’on ne quitte pas. Il était autrefois le refuge des « marrons esclaves ». Ils y disposaient d’un abri sûr et, à l’arrivée des chasseurs de « Noirs esclaves », s’enfuyaient vers le Piton des Neiges, le Dimitile ou le Grand Benare.
Après 1848, les « petits blancs » se mêlent naturellement aux anciens esclaves, créant la population métissée typique des hauts. Lors de la récolte d’esclaves de 1811 à Saint-Leu, les conjurés sont dénoncés par l’un des leurs, l’esclave Figaro qui, en récompense, reçoit un lopin de terre à Ilet-à-Cordes .
L’histoire veut que les premières sources thermales furent découvertes en 1815 par Paulin Techer, saint-louisien chasseur de cabris et plus sûrement de « Noirs esclaves ». Elles sont exploitées dès 1939 dans un premier établissement thermal, par le docteur Jean-Marie Mac-Auliffe, arrivée en 1900. Sa fille, Angèle, initie les femmes du cirque à l’art de la dentelle donnant naissance aux fameux « Jours de Cilaos ».
Jusqu’en 1936, la montée vers Cilaos se fait à pied (ou en chaise à porteur pour les plus fortunés), par le périlleux sentier du Cap Noir. Section administrative de Saint-Louis, Cilaos est érigée en commune en 1965.
Voilà la route pour Cilaos , sa grimpe , sa tourne et retourne sans cesses plus de 200 virages...
Oh qu'il est fort mon homme..
...
Les eaux de la ravine Ferrière , avant de s'élancer dans leBras Rouge , viennent s'apaiser dans un bassin , sous l'ombrage .
Ne cherchez plus les vasques d'eaux chaudes , elles ont disparu lors d'éboulements .
Les pierres sont arrivées là avec l'aide des cyclones....
Une eau transparente ,bien fraîche , le calme tout pour être heureux
Et voilà après un bon bain pour se rafraîchir nous avons attaqué la remontée , petit arrêt au pied de la cascade ....
Trois -quarts d'heure après le départ la mélodie de l'eau annonce une cascade , voici la traversée de la ravine Ferrière , en souvenir de Guy Ferrière , directeur des travaux , qui chargé en 1836 du tracé d'en sentier vers les sources.
Il a l'air très occupé ce tangue , nous ne l'inquiétons pas du tout...
Cette rando n'est pas difficile , très agréable surtout comme ce jour là , le temps était super beau....Belle journée...
Cilaos s'est aussi cela:
Lentilles
Historique
La culture des lentilles apparaît dans les statistiques de Saint-Louis d'abord en 1833 et 1836 parmi les grains nourriciers, mais sa pratique dans le cirque de Cilaos n'est précisée qu'en 1857. Effectivement, cette année-là, les états statistiques des cultures de la commune de Saint-Louis mentionnent que les légumes secs, tels que pois, lentilles ou ambrevades sont généralement cultivés dans les îlets et constituent presque «les seules ressources des habitants de ces localités éloignées ».
En 1859, ils répètent que « les lentilles et les haricots forment, après le maïs » et avant la pomme de terre,« la culture principale des habitants de Cilaos».
Mais Cilaos s'est aussi cela:
Cilaos petit village niché presque au cœur de l' île de la Réunion est connu
par la renommée de ces " Jours ".
Angèle Mac-Auliffe (née en 1877) dès son plus jeune âge a appris à se servir d'une aiguille afin de préparer son trousseau, broderie blanche et Jours n'ont plus aucun
secret pour elle.
Elle enseigne ces techniques aux jeunes filles du village, elle étudie de nouveaux
passages de fils, imagine de nouveaux points proches de la faune et la flore qui
l'entoure.
Angèle va aussi créer des appliqués en s'inspirant de la dentelle de Ténériffe.
Cette adaptation lui permet de se libérer des fils de chaîne et de trame, d'y mettre
les fils qui lui sont nécessaires à la création de nouvelles formes et motifs c'est
l'origine de ces jours......
Encore aujourd'hui, on peut y rencontrer des brodeuses, penchées sur leurs tambours.....
Derniers points sur une pâquerette double, l ' ajoureuse soutient par en-dessous la toile avec ces doigts
Pochette brodée sur de l'organdi,
une merveille de finesse
Et bien sur Cilaos ne serait rien sans son vin : le fameux vin de Cilaos....
.
Sur les « Ilets », en plateaux ou en terrasse, 13,5 ha de vigne travaillée uniquement à la main par quinze viticulteurs, prospèrent sur les sols volcaniques du Cirque de Cilaos.
De 600 à 1300 m d’altitude, le plus haut vignoble de France se répartit en une trentaine de parcelles sur tous les versants du Cirque.
Après une soixantaine d’essais de nouveaux cépages en 1970, le Malbec, le Pinot noir, la Syrah, le Chenin, le Verdelho et le Gros Manseng ont élu domicile dans le relief de Cilaos.
Un hiver clément, pendant lequel a lieu la taille de la vigne, puis un été chaud et humide rythment chaque année la vie du vignoble.
Au début de l’été austral, la vigne, protégée par des filets, fournit ses fruits si convoités par les oiseaux.
Enfin, avec un faible rendement, les vendanges commencent aux alentours de la Saint Vincent, le Saint Patron de nos vignerons si courageux.
Vendangé sous la menace cyclonique pendant les mois de janvier et février, le vin du Chai de Cilaos est le premier vin français de chaque millésime.
Les vendanges manuelles permettant le tri des plus belles grappes, ont lieu en plusieurs passages, dans des petites cagettes d’une vingtaine de kilos pour préserver la qualité de nos baies.
La vinification en blanc et en rosé débute par un pressurage léger de la vendange entière à basse pression dans un pressoir pneumatique. Après clarification des jus, les fermentations alcooliques sont réalisées en cuve et pour un tiers de la production des blancs en fûts de chêne. Une fermentation à basse température en cuve inox développe la fringance et la délicatesse des arômes. L’arrêt volontaire de cette fermentation donne au vin blanc moelleux une douceur sucrée.
En rouge, après un éraflage et un léger foulage, la fermentation alcoolique a lieu en cuve inox. Après trois semaines de cuvaison, le vin est écoulé en fûts de chêne où la fermentation malolactique se déroulera, en apportant complexité et structure à nos vins.
Afin de révéler la typicité de chaque micro-terroir de Cilaos, les parcelles sont vinifiées séparément et sont élevées de 6 à 12 mois sur lies fines.
Après avoir parcouru ce très court et facile itinéraire, vous n'aurez qu'une idée en tête : descendre la rivière et ses nombreuses cascades et toboggans avec une combinaison et un casque pour produire plus d'adrénaline qu'en randonnée. Même à pied, il ne faut pas se contenter de ces deux seuls bassins les plus connus. Le long du sentier officiel situé en rive droite, de nombreux petits sentiers descendent à pic vers la Rivière des Roches et donnent accès à d'autres bassins très agréables (photo 2).
Mais il faut surtout profiter de cette journée pour parcourir les autres sentiers de la région. L'un d'entre eux mène au Camp Michel. Il est large et pavé par endroits (photo 7), toujours ombragé et permet également de rejoindre la rivière par des sentiers latéraux.
La randonnée débute à l'Abondance où on a l'embarras du choix en pistes qui descendent vers le Grand Bras, affluent de la Rivière des Roches. Après avoir franchi une passerelle et un long lacet, on arrive au Bassin la Mer en ayant laissé sur la gauche le sentier de Camp Michel. Un promontoire permet d'admirer cette cascade qui jaillit d'un étroit goulet d'orgues basaltiques. On longe ensuite en rive droite la Rivière des Roches jusqu'au parking du Bassin la Paix, qu'on peut apercevoir du haut du parking. On franchit la passerelle au-dessus de la rivière et on descend ensuite au pied de la chute d'eau, près du grand bassin. Il faut ensuite remonter la rivière vers le point de départ en descendant de temps en temps pour voir les autres bassins puis obliquer à droite vers le Camp Michel (circuit orange) après avoir revu le Bassin la Mer. Le sentier suit la rivière avant de s'en éloigner dans la forêt de bois de couleurs. L'endroit est un cul de sac et il faudra utiliser le même itinéraire pour rentrer à l'abondance.
La Randonnée aquatique se situe entre le canyoning et la nage en eau vive ; elle permet de descendre la rivière des Roches en alternant sauts de cascade (entre 4m et 8m), toboggans et nage dans des piscines naturelles. Cette activité très ludique se pratique dans un contexte tropical unique à la Réunion, encadré par un guide brevet d’état.
De bassins en bassins vous découvrirez une végétation verdoyante et la géologie particulière de l’île (Orgues basaltiques...).
Un parcours de demi journée pour une découverte de l’aquatique.
Dominante de la progression : sauts, petits toboggans
Une petite route, à Beauvallon, permet de remonter le long de cette rivière jusqu'à une superbe cascade entourée d'orgues basaltiques : le bassin La Paix ; plus haut, le bassin La Mer, n'est accessible qu'en 4X4 ou à pied (1/2 h).
La roche , aux formes particulières qui entoure le bassin est , ce que l’on appelle de l’orgue basaltique, formé lors du refroidissement brutal du basalte pendant son éruption.
Un peu de détente ne fait pas de mal , surtout dans un endroit comme celui là...
Ulyss après avoir pris un bon bain , vient faire son petit calinou...
Le dimanche ces lieux sont très prisés
Ils sont prés à prendre des risques énormes......
Le saut de l'ange.....
S'est une randonnée que nous faisons assez souvent , et chaque fois ,les photos sont différentes car la végétation à la Réunion change tout le temps...
Et oui l'eau coule toujours...
Tout près de Saint-Denis, un sentier très fréquenté débute à la Providence pour grimper au Brûlé et peut servir de départ à une randonnée un peu longue vers la Roche Ecrite ou vers le Cirque de Salazie. Ce sentier n'est jamais difficile et propose dans sa première moitié une partie botanique afin de mieux appréhender la flore du chef lieu. Quelques portions sont caillouteuses, d'autres boueuses ou encombrées de racines mais c'est toujours un plaisir de le parcourir.
La randonnée débute à la Providence, près d'une aire de loisirs et d'une belle touffe bambous et de palmiers royaux (Photo 1). Le sentier monte constamment jusqu'au Brûlé et ne s'éloigne jamais des habitations qu'on aperçoit rarement mais qu'on devine aux bruits de la vie courante. Il coupe à deux reprises un semblant de route goudronnée qui n'est qu'une partie aménagée d'un sentier de l'ONF.
Quelques panoramas sur Saint-Denis sont possibles par des trouées dans la végétation. Le cheminement s'effectue sur de la terre, des cailloux et beaucoup de racines car les multiples passages arrachent, jour après jour,
le revêtement du sentier où la végétation n'a jamais le temps de s'installer. Quelques autres sentiers, bien visibles sur la carte permettent de varier l'itinéraire, surtout à la descente.
Le dernier tiers du parcours permet de rencontrer les plus beaux spécimens de filaos de l'île. Certains atteignent des diamètres impressionnants et doivent avancer en âge (photo 6). La sortie se termine à une pancarte (Photo 10) après un passage sous les futées pour longer une ravine. Il faut compter deux bonnes heures pour la montée mais la descente, agréable s'effectue aisément en une heure.
La Nouvelle par le col des boeufs
La route forestière qui vous conduit jusqu'au parking-terminus a été réouverte récemment (début 2003) dans sa totalité après une longue coupure due aux dégâts causés par le cyclone Dina (qui a touché la Réunion en janvier 2002) : les 6 km de cette route seront entièrement refaits en 2004 et recouverts d'un revêtement qui ne mettra plus à mal les suspensions de vos véhicules. Si vous avez prévu de passer plus de la journée dans le cirque de Mafate, je vous recommande fortement de vous adresser au gardien (Jean François Rivière, dans la petite guérite située à l'entrée du parking : 10€ pour 2 jours) qui veillera sur votre véhicule car de très nombreuses dégradations ont pu être constatées et ceci dans un passé encore très proche ...
Dans un paysage grandiose formé par le cirque de Salazie et sa végétation luxuriante, le village d’Hell-Bourg présente une architecture où se marient l’identité créole et le patrimoine Belle époque issu de son activité thermale passée.
En venant de Salazie, vous traversez le village de Hell-Bourg où vous aurez l'occasion de découvrir un nouveau produit touristique proposé depuis août 2002, "le circuit des cases créoles" : en effet grâce au travail mené depuis de nombreuses années par l'association "Sauvegarde et Renouveau d'Hell Bourg", les magnifiques cases créoles délaissées depuis la disparition des Thermes en 1948, ont été remises en état et aujourd'hui Ecomusée de Salazie propose la visite guidée de 18 belles demeures dans le village.
Nous avions décidé de partir au matin très tôt pour ne pas étre dans les nuages , donc nous avons campé à l'ilet à Vidot dans les haut d'Ell Bourg .
Comme nous avons très peu dormi car toute la nuit il y avait de la musique au alentour , s'est presque incroyable , dans un endroit pareil , mais non , nous n 'avions plus été étonné d'être que trois tentes sur tout le camp de camping , heureusement que ce camp de camping s'appelle "le relax"
donc , à 5 heures du matin le chant des coqs n'en finissant plus je crois bien qu'il y avait des centaines de coqs au alentour,nous avons pris notre petit déjeuner , notre courage à deux mains et hop ,nous avons commencé par faire de très belles photos , car pas un nuage à l'horizon..
Après les petites corvées du matin , nous prenons le départ de la randonnée..
Comme il est très tôt ,toutes les habitations sont fermées...
Vraiment un temps idéale , pour la marche mais également pour les photos
Quelle végétation , ici il ne manque pas d'eau...
Et oui Dominique , on peut dire que sa grimpe Nous sommes loin du plas pays........
Je réve les pieds de songes son plus grand que toi....
Olala , sa continue à grimper...
Et sa continue tout en grimpant...
Le piton d'Enchaing
Le Piton d'Enchaing , la Roche Ecrite , et le Cimendef
Le Cimendef
SOURCE MANOUILH – HELL-BOURG
• Niveau : Marcheur moyen
• Distance : 9 km
# Dénivelé : +670m ; -670m
• Durée : 05h00 en boucle
• Difficultés & conseils : Montée de Hell-Bourg à terre Plate assez rude.
Le site se prête à merveille au pique nique : appréciez le calme reposant avant d'attaquer le sentier du retour, raide et glissant dans la première partie, qui vous ramènera à la bifurcation rencontrée à l'aller. Le but de notre randonnée étant de faire la boucle, vous prenez à gauche (comme indiqué sur la carte ci-dessus) en direction de Ilet à Vidot. Après 10mn de descente-faux plat, vous arrivez à un kiosque qui marque la fin de la forêt : de là, votre descente sur Ilet à Vidot vous prendra une demi-heure, accompagnée de goyaviers puis de filaos entre lesquels vous apercevrez le Cimendef, la Roche Ecrite, le rempart de Bé-Massoune et l’inévitable Piton d’Anchaing. En arrivant au pied du rempart, vous retrouvez une piste et vous allez être confrontés à un véritable jeu de ... piste. Certains guides indiquent de prendre toujours à gauche pour retrouver la route goudronnée mais sachez qu'il existe de nombreux raccourcis qui vous permettent d'éviter cette route goudronnée (et qui vous amènent parfois directement ... chez l'habitant, toujours prêt à vous remettre dans le bon chemin).
Dans un dernier virage, vous apercevez une touffe de bambous qui vous indique une piste descendant sur votre gauche (en fait le GR R1) : la passerelle métallique étant inutilisable, vous devez franchir à gué le Bras Sec et vous retrouvez sur l'autre rive le site des anciens Thermes (régulièrement entretenu ce site est très apprécié des promeneurs et pique niqueurs). Le village de Hell Bourg n'est plus qu'à quelques minutes : vous passez devant l'ancien Hôtel des Thermes (encore à l'abandon !) et à l'entrée du village, vous prenez la route sur votre droite pour retrouver, après une dernière montée en ligne droite, le parking où votre voiture vous attend depuis 4 ou 5 heures !
Pour l'instant , nous avons encore le sourire
Ouf , un joli kiosque , très bien pour faire une pause , bien méritée
Une petite pause casse croûte , après toute cette marche , et ce n'est pas fini...
Avant de poursuivre votre chemin, vous pouvez faire une première pause sous le kiosque et faire quelques mètres supplémentaires pour aller au belvédère d'où vous aurez une belle vision de l'ensemble du cirque et au-delà les crêtes environnantes du Cimendef à la Roche Ecrite.
Le sentier continue dans la forêt de cryptomérias (sombre et humide), en se confondant avec la piste utilisée par l'ONF et vous arrivez au bout d'1/4h à un embranchement : vous prenez à droite en laissant (voir croix rouge sur la carte ci-contre) le sentier qui vous conduirait au Cap Anglais (puis au Piton des Neiges voir rando n° xx). Après avoir franchi deux ravines (et ignoré les pistes de débardage utilisées par les forestiers), vous arrivez à une nouvelle bifurcation : comme indiqué par le panneau, vous montez à gauche en direction de la source Manouilh; le début du sentier est assez raide mais très bien aménagé par des marches taillées dans la terre et fixées par des rondins
Une pause photos s'est tellement beau....
Bon sa va Dominique à encore le sourire...; nous pouvons repartir d'un bon pied car ,nous sommes loin d'être arrivés
La foret de cryptomérias de Terre Plate
Au bout de quelques minutes de montée, le massif forestier colonisé par l’homme se termine et vous retrouvez la belle forêt primaire typique de la Réunion qui suinte l’humidité.
Oh les grimaces...
Dominique ne fait pas trop confiance au petit pont de bois.....
Petite vue du village de Hell Bourg
Magnifique , ces champignons......
Une partie de cache -cache....
Les cascades de la rivière du Mat en amont des sources Manouilh
Nous sommes en admiration devant la végétation et ces pieds d'orchidées
La descente est très raide et il convient de l’aborder prudemment. Sous les pieds les marches et les rochers glissants se dérobent facilement et quelques aménagements de cette partie du sentier seraient les bienvenus
Après cette glissade assez chaotique nous atteignons une ravine dont la berge de droite est tapissée de marguerites. Le but n’est plus très éloigné. Un dernier passage en surplomb et vous voici dans le lit de la Rivière du Mât face au panneau décrivant ce site (voir ci-dessous).
Le cyclone Dina a laissé des marques profondes de son passage (en janvier 2002) et le site a été bouleversé : une partie de la paroi qui vous fait face s'est effondrée et a enseveli une partie des sources : il vous faudra descendre dans le lit de la rivière pour trouver les traces d'une source avec son dépôt caractéristique de couleur ocre; vous pouvez également remonter de quelques dizaines de mètres le lit de la Rivière du Mât pour aller au pied de la cascade et y trouver, avis aux amateurs de bain d'eau glacée, un véritable jacuzzi taillé naturellement dans la roche !
Sources ferrugineuses
Inutile de dire combien la remontée fut difficile , la fatigue s'est fait sentir , il faut dire que nous avions 5h 30 de marche dans les jambes...., La pause ne peut que nous faire le plus grand bien....
Très belle vue encore sur le village de Hell Bourg
De retour au camp de camping , après une bonne douche préparation de'l'apéro et du repas....
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Alain , qui active le barbecue pour la cuisson de notre cote à l'os
Santé , après l'effort le réconfort autour d'une assiette de cochonaille....
Le découpage de la cote à l'os fait saliver Dominique...
Et oui , Dominique à quelques petits défauts......
Le weed end s'est terminé sur un bon petit repas , avant de démonter les tentes et de reprendre la route , nous avions bien fait de faire notre randonnée au matin , car comme d'habitude les nuages étaient arrivés .
Bonjour.
pour consulter mon site (MonJardin).
vous devez vous inscrire gratuitement et
ensuite me rechercher en tant que jardinier.
Merci & bonne visite.